Proposition de lois

Pour qu’il n’y ait pas que les Juifs, les Musulmans, les Noirs, les féministes ou encore les homosexuels, qui aient des lois à réformer, des aménagements spéciaux à réclamer, des fa-veurs législatives à exiger… que les opposants à la circonci-sion présentent eux aussi quelques exigences en matière de loi ; puisqu’il ne faut manifestement pas sortir du chaudron des génies pour proposer des lois (il faut au contraire être lourdingue, savoir taper du poing et marcher avec de gros sabots en ne voyant que son nombril et ses pieds).
Vu le nombre de personnes opposées par principe à la cir-concision, si ces personnes réclamaient des lois en échange de leur voix aux élections, il est à gagner que les politiques seraient gênés aux entournures à devoir choisir entre les adeptes de la circoncision et les opposants à la circoncision ( » qu’est-ce qui me rapportera le plus « , sera le cruel di-lemme qui tourmentera la classe politique). Une chose est sûre : si les gens ne font pas ouvertement savoir qu’ils veulent voir la circoncision masculine rituelle interdite et la circoncision médicale contrôlée, comme ils font savoir qu’ils sont excédés ou scandalisés par tant d’autres choses, aucun politique non impliqué ne fera jamais rien. Même une fronde populaire ne fait pas toujours le poids face à la puissance occulte, qui, on le voit, ordonne aux Pantins de faire accep-ter le métissage de masse dont personne ne veut, hormis les déculturés, les décérébrés, les hallucinés (métissage de masse qui ne peut guère se réaliser sans anicroches qu’avec des masses sans culture, sans convictions personnelles, sans autres élans vitaux que ceux dictés par les prescripteurs d’opinion institutionnels).

{1}. Interdiction de la circoncision rituelle des moins de 18 ans ou 21 ans.

{2}. Quiconque aura commandité ou exécuté une circonci-sion rituelle sur un mineur, ou sur un majeur non explicitement consentant, sera au moins puni de la peine maximale prévue par l’article 222 du Nouveau Code Pénal. Cette peine devra être bien supérieure à celle encourue par ceux qui auront provoqué ou exécuté une ablation rituelle du cli-toris, compte tenu du fait que le gland pénien est l’organe érogène par excellence, les femmes disposant des seins, du vagin, du corps clitoridien sous-jacent, et éventuellement du  » point G « , pour se satisfaire sexuellement ; la désensibilisation du gland par amputation rituelle du prépuce étant susceptible de priver le circoncis d’une source unique de plaisir sexuel, et d’affecter sa vie affective, sociale, professionnelle.

{3}. Contrôle des prescriptions et des actes de posthecto-mie, pour lutter contre la pratique abusive de la chirurgie et éviter les remboursements sous couvert d’indication médicale fallacieuse. Chaque fois qu’un médecin prescrit une posthectomie comme traitement d’un phimosis notamment, qu’un médecin contrôleur examine le patient. Dès la troisième prescription abusive, des poursuites seront engagées.
L’Etat sait se donner les moyens de contrôler toutes sortes de fraudes et de trafics. Il peut se donner les moyens de contrôler cette fraude-là. Ce n’est pas une affaire de moyen, mais de volonté. Quant à savoir si c’est là une priorité, comment en douter sachant que cette mutilation est la plus fréquente opération pratiquée au monde ?

{4}. Assistance juridique totale et gratuite pour les circoncis qui voudraient faire condamner tous ceux qui auront com-mandité, provoqué ou pratiqué leur circoncision.
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La liberté de conscience vaut pour l’individu, adulte, averti, pleinement conscient et informé. La liberté de circoncire sa progéniture n’est pas une liberté de conscience, mais un droit sur autrui. L’exercice de l’autorité parentale ne donne pas tous les droits. Il ne donne pas le droit de maltraiter, il ne devrait pas donner le droit de circoncire.
Quand on prétend avoir des convictions, en l’occurrence re-ligieuses, il faut être prêt à les affirmer devant un tribunal, et subir les conséquences juridiques de ces convictions, surtout quand on prétend être un homme un vrai à travers ces convictions, un homme prêt à mourir en martyr. Mais quand on est qu’une petite merde suiviste qui se déresponsabilise sur des prescripteurs sans savoir vraiment pourquoi on mutile sexuellement ses gosses (si ce n’est pour aller au paradis des circonciseurs), on ne doit pas se prétendre adulte responsa-ble digne de se reproduire et d’avoir autorité sur des gosses.

{5}. Nul ne peut inciter quelqu’un à se suicider ou à se mu-tiler. Pareillement, l’apologie de la circoncision doit être pé-nalisée ; la circoncision rituelle devant être interdite, la cir-concision médicale relevant de la seule compétence du corps médical, qui doit être surveillée ; car les médecins ne sont pas plus au-dessus du regard de l’Etat que les religieux (quand on condamne l’exercice illégal de la médecine, on doit condamner les individus non compétents qui se permet-tent de prescrire, notamment sur Internet, une circoncision à ceux qui ont des soucis avec leur pénis).

{6}. Autoriser l’action juridique collective ( » class action « ), pour qu’un collectif de personnes puisse payer des avocats qui poursuivront l’Etat, les religions, les médecins circonciseurs, etc.

{7}. Imposer une mention qui prévient de l’exhibition d’une verge circoncise ou d’une vulve circoncise partout où ce genre de vision peut apparaître (films, photos, etc.) ; car cette vision d’horreur peut choquer, perturber, traumatiser, faire vomir, et provoquer des crises de nervosité. Pour éva-luer la pertinence d’une telle proposition, il suffit d’observer la réaction de certains circoncis traumatisés comme de cer-tains français, énervés, terrorisés, angoissés, perturbés, trou-blés par l’évocation de cette pratique, qui favorise le racisme et l’intégrisme.

{8}. Si interdiction il n’y a pas, autoriser la circoncision fé-minine et imposer une taxe spéciale aux adeptes de la cir-concision pour financer la prise en charge psychologique ou chirurgicale des circoncis rituel traumatisés et/ou ayant be-soin d’une chirurgie plastique réparatrice, ainsi que pour fi-nancer le soutien juridique des circoncis qui voudraient in-tenter des poursuites contre ceux qui auront commandité, provoqué ou pratiqué leur circoncision.

{9}. Accorder l’impunité pénale aux circoncis qui torture-raient à mort un circonciseur.
Quand un circoncis est détruit par la circoncision qui lui a été infligée, il est en droit de réclamer justice. Cette justice doit se faire. Elle ne peut venir d’un dieu qui n’existe pas. Si elle ne vient pas du tribunal des humains, le plaignant peut se réserver le droit de faire justice lui-même, en toute impu-nité. Si la circoncision n’est pas interdite, une impunité pé-nale doit être accordée aux circoncis qui veulent se faire jus-tice ; en effet, lorsqu’on prétend souhaiter aux morts de reposer en paix, on doit accorder ce droit de reposer en paix à ceux qui ne peuvent reposer en paix avant d’avoir obtenu que leur circonciseur soit châtié, que la circoncision rituelle soit criminalisée.

{10}. Obliger les médecins à dénoncer les géniteurs qui demanderaient l’amputation rituelle du prépuce de leur pro-géniture. Imposer un examen psychiatrique à ces individus ; car vu ce que les religions castratrices attirent comme dé-viants culpabilisés, pervers non assumés, névropathes et psy-chopathes, outre les individus désemparés face à la vie et au monde, il serait étonnant que ne soit pas révélée une motiva-tion perverse derrière une telle demande.
Quand on trouve normal de faire des examens néonataux, des suivis de grossesse, comment ne pas trouver normal de soumettre à des examens psychiatriques les gens qui préten-dent enfanter ? En cas d’immaturité, de faible niveau sco-laire, de perversité latente ou manifeste, une interdiction doit être prononcée, temporaire ou définitive, avec un suivi par les services sanitaires et sociaux. Quand on instaure des  » cellules psychologiques  » pour tout et rien, ne faudrait-il pas instaurer un suivi psychologique des enfants sexuellement mutilés par rite de circoncision ? pour s’assurer que le mutilé a accepté ce que lui ont infligé ses géniteurs, avec la complicité de toute la société. Quand on veut repérer les graines de délinquants (sous-entendu Franco-de-papier-maghrébins) dès la maternelle, on peut aussi bien étudier les effets de la circoncision rituelle chez les Franco-de-papier-maghrébins, et constater que de leur circoncision vient le violent rejet de l’autorité et l’esprit de rébellion, quand elle ne fait pas d’eux des soumis à l’autorité (une pratique comme la circoncision radicalise les individus ; car c’est la pratique des extrémistes, que sont ceux qui prétendent utiliser la circoncision rituelle comme mesure hygiénique, et qui sont des hygiénistes extrémistes, ainsi même que sont des éduca-teurs extrémistes eux qui prétendent faire des hommes à par-tir des garçons en utilisant la circoncision).
Quand on prétend détecter les  » graines de délinquant  » dès le plus jeune âge, pour éviter d’attendre les résultats de l’expérience durant une ou deux générations, il faudrait commencer par examiner les  » adultes  » qui prétendent se reproduire. Quand une femme est enceinte, avec les examens médicaux usuels, il conviendrait d’instaurer un examen psy-chiatrique combiné à une évaluation des capacités à élever une progéniture.

{11}. Lancer une série d’études scientifiques pour détermi-ner l’intérêt d’une circoncision féminine (par ablation des peaux de vulve) dans la prévention du Sida ; dans la préven-tion des maladies gynécologiques, et dans la prévention des maladies du pénis. Mener ces études sur les femmes de cir-concis, pour montrer la pertinence de la circoncision.

{12}. Lancer une série d’études scientifiques pour détermi-ner l’impact physique et psychique de la circoncision mascu-line. En effet, comment un médecin peut-il avoir l’audace de prescrire une posthectomie ? s’il n’est pas capable de faire connaître les risques et les effets secondaires, comme il est tenu de le faire. Comment le pourrait-il ? puisque la cir-concision est l’opération la plus pratiquée mais sans doute la moins scientifiquement documentée.

{13}. Imposer une enquête de moralité sur quiconque de-mande une carte de presse, sur quiconque intervient à la té-lévision, sur tous les prescripteurs d’opinion (comme les prêcheurs)… pour éclairer l’opinion publique sur leur profil psychologique, leur penchant politique, sur leurs liens avec les mouvements politiques, religieux, sectaires… bref, sur tout ce qui permet de savoir à qui on a affaire. Cette disposi-tion doit particulièrement concerner le personnel politique comme tous ceux qui font profession de fouiner dans la vie intime des gens.
(Puisqu’on ne peut compter sur la France des circonciseurs pour éclairer certains aspects cachés de la France – quand l’intimité d’un illustre inconnu est étalée sous le manteau parce qu’il a osé publier un pamphlet sur la circoncision masculine, et ce, pour tenter de le discréditer, lui et son pro-pos -, on gagnera à être curieux, en annexe, en se deman-dant  » Qui est qui fait quoi ? « )
Afin de désengorger les tribunaux et de mobiliser le système judiciaire sur des affaires importantes, imposer une sembla-ble enquête sur tous ceux qui déposent une plainte requérant une enquête sur un accusé, notamment une enquête de mo-ralité, une enquête sur l’enfance, les mœurs, l’opinion et l’engagement politique, l’appartenance religieuse, commu-nautaire, le profil psychologique, etc. Une telle enquête doit être faite sur toutes les parties, sur ceux qui jugent et sur ceux qui défendent ; c’est une condition essentielle pour assurer un bon déroulement de la justice, et c’est un droit fonda-mental de l’accusé que de savoir qui l’accuse et qui le juge. Assurément, cela fera passer l’envie de se faire remarquer à bien des procéduriers.

{14}. Multiplier les campagnes de sensibilisation pour met-tre en garde les parents et les enfants contre le danger que représentent les circonciseurs qui sévissent sur Internet, où ils polluent les esprits pour corrompre les cultures et les moeurs en incitant à la circoncision. Si inciter au suicide ou à l’automutilation est délictueux, comme inciter au meurtre, à l’anorexie, aux crimes et aux délits… alors inciter à la cir-concision devrait aussi être passible des tribunaux.

{15}. Pour stimuler la natalité par le droit de vote : donner à chaque lecteur autant de voix qu’il a d’enfants. Quatre bulletins de vote pour quatre enfants, tant pour le père que pour la mère. C’est anticonstitutionnel ? Peu importe, il suffit de changer la Constitution. Il faut se donner les moyens de son ambition ; dit la société des ambitieux.

Imposer aux immigrés de se faire stériliser après le 2eme gosse, sous peine d’expulsion. Imposer une stérilisation aux géniteurs infanticides ou tortionnaires. (Que ceux qui admet-tent l’ignoble pratique de la circoncision rituelle s’abstiennent de crier à l’inhumanité d’une telle loi, ils ne se-raient pas crédibles ; surtout quand ils veulent en réalité ca-cher leur volonté délibéré de corrompre la nation française avec des apports exogènes.)

{16}. Abolition de la double nationalité – extra-européenne – ; quitte à la restaurer plus tard – sous condi-tion, pour tous ou seulement pour les Franco-européens -, quand la France se sera débarrassée des Islamistes (outre les Judéo-fascistes, qui empêchent l’abolition de la double na-tionalité), qui ne sont en France que pour l’islamiser et pour en prendre le contrôle.

{17}. Proposer aux Franco-maghrébins et autres Franco-africains condamnés pour trafic de drogue, violence, etc., de ne pas purger leur peine, notamment de prison, s’ils renon-cent à la nationalité française et s’ils quittent la France pour ne jamais plus y revenir. Etudier une semblable proposition avec tous les descendants d’immigrés qui ne sont pas inté-grés et qui ne le seront manifestement jamais.

{18}. Infliger un tatouage éphémère d’une durée de 3 ans sur le front des tagueurs interpellés :  » Tagueurs tagués par la justice.  »

{19}. Imposer à tous les ménages d’avoir un bateau pneu-matique de secours à portée de main, car dans un monde régi par les religions bibliques qui annoncent une apoca-lypse en l’orchestrant, on peut avoir du mal à comprendre que les populations ne se préparent pas à survivre à un dé-luge comme elles se préparent à survivre à une apocalypse nucléaire avec des abris antiatomiques. N’est-ce pas ? (Ap-paremment, les croyants n’y croient pas vraiment, au déluge. La menace nucléaire, elle, ce n’est pas du baratin ; elle est palpable, réelle.)

{20}. Pour lutter contre l’antisémitisme (un combat qui de-vrait obséder tous les habitants de la planète, du matin au soir, et pendant tous les actes de la vie quotidienne, comme chacun le sait), que soit interdit aux Juifs de se marier entre eux, qu’ils soient obligés de se marier avec des Jaunes, des Noirs, des Gris, des Blancs, des Rouges, des Marrons… avec tous ceux qui les haïssent, selon leurs dires.
En outre, pour lutter contre la guerre des classes, il convien-dra d’obliger les aristocrates, les bourgeois, les élites, les ri-ches, les classes supérieures, à se marier avec des pauvres, des barbares, des arriérés, au nom de la mixité sociale véri-table.
Et pour lutter contre la guerre des générations et favoriser la solidarité active entre les différentes classes d’âge, il faudra interdire les gens de se marier avec des personnes de leur âge ; imposer un écart de 20 ans entre les mariés.

{21}. Dans le cadre de la lutte contre le racisme, l’homophobie, et les sexistes violences conjugales, rendre obligatoire des séances d’orgies bisexuelles collectives dans les écoles et les centres de formation continue ; afin de favo-riser la  » cohésion de groupe « ,  » l’esprit d’équipe « ,  » l’esprit de corps « ,  » la fraternité universelle « ,  » la découverte pro-fonde de l’autre « ,  » le métissage globalisé « . La mauvaise volonté sera sévèrement réprimée (45’000 euros d’amende et 3 ans de prison), tout comme l’absence manifeste de jouissance (mêmes peines).
Durant la première phase de ce Nouvel Ordre (qu’il conviendra de mondialiser), l’instauration de ce rite universa-liste d’inspiration amoureuse sera facilité par l’usage généra-lisé de drogues aphrodisiaques, désinhibant, socialisantes. Des lubrifiants de super haute performance seront gratuite-ment fournis pour faciliter les fellations et les sodomies, qui devront être vigoureuses, pour ne pas dire sauvages. Conformément à ce qui est en usage partout dans le monde, tout le monde devra baiser tout le monde ; non plus au sens figuré, mais bel et bien au sens propre.
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En vertu de l’égalité des sexes, quand une femme accouche par voie naturelle, le géniteur devra simultanément se sou-mettre à une dilatation anale d’un diamètre égal à celui ex-périmenté par leur épouse (sans anesthésie, cela va de soi) ; afin, notamment, qu’il se sente venir un instinct paternel (ça marchera, vous croyez ; ou bien cela fera passer aux hom-mes l’envie d’éjaculer, voire de bander ?).
Pour mettre en application l’œcuménisme que les métisseurs ont dans la bouche, il conviendra d’obliger tout le monde à s’appeler  » mon frère « ,  » ma sœur « , en interdisant l’usage des patronymes nationaliste et ethnique. En outre, pour se saluer, tout le monde devra s’embrasser sur la bouche. De surcroît, la mode sera interdite au profit d’un uniforme unisexe ; comme il se doit dans tout bon régime totalitaire éhonté faisant négation des individus.

{22}. Afin que chacun puisse choisir son médecin en fonc-tion de ses affinités et de ses convictions, imposer ou permet-tre aux médecins et autres professionnels de la santé de dé-clarer leur position sur des sujets fondamentaux qui touchent à la conscience : sur la circoncision, sur l’avortement, etc. Les informations seront disponibles sur un site Internet gou-vernemental.
Faire de même avec les prestataires de biens et de services : que chacun soit autorisé à déclarer  » ici, les « ceci et les cela » ne sont pas les bienvenus  » ; cela ne va pas à l’encontre des règles du commerce, mais cela permet à chacun de trouver, sans bouche-à-oreille et sans détour, les lieux qui lui conviennent.

La France étant une démocratie, les lois doivent traduire la volonté du peuple ; enfin ! de ses mâles dominants. Et le peuple français l’a décrété : l’alcool est la boisson sacrée des Français, qui sont des Alcooliques, adeptes de la religion vouant un culte au dieu de l’alcool, qui est l’Alcoolisme. Nul ne peut être considéré comme un vrai Français s’il n’est pas porté sur l’alcool (surtout s’il est circoncis). En conséquence de quoi, tout titulaire de la nationalité française devra se soumettre quotidiennement à une absorption d’alcool dans un centre de vaccination agréé ; les doses étant à déterminer par les industriels suivant leurs objectifs financiers et les exigences de leurs actionnaires. [A lire en annexe :  » La menace terroriste des intégristes de l’alcool « ]

{23}. Si un homme viole une femme humaine, par esprit démoniaque, par sadisme, pour détruire toute trace d’humanité, il mérite au moins d’être lui-même violé. Mais s’il viole une femelle procirconcision comme elle légitime la mutila-tion génitale rituelle des garçons, il doit non seulement béné-ficier d’une impunité pénale, mais il doit de surcroît être ho-noré comme un justicier qui a châtié une démoniaque sadique complice des pires violeurs qui soient, à savoir ceux torturent sexuellement les enfants par mutilation génitale ri-tuelle.
Quand on juge un accusé à la lumière de l’âge ou encore de la moralité et des mœurs de la plaignante, on doit juger de sa position sur la pratique de la circoncision rituelle. Les femelles procirconcision ne peuvent être perçues comme des femmes vertueuses assez humaines et sensibles pour souffrir d’un viol. Leur complainte n’est que simulacre convenu et in-téressé de vaniteuses qui cautionnent la loi du plus fort (des circonciseurs) dont elles veulent profiter ; ce dont elles se plaignent quand elles se plaignent d’avoir été violées, c’est d’avoir été poussées hors du rang des dominants, pour tom-ber dans celui des soumis.

{24}. Et puis, hé, les Américains ! C’est pour aujourd’hui ou pour demain, que vous obligez la France et l’Europe à déréglementer la vente des armes à feu ? N’avez-vous pas songé au marché que représente l’Europe pour vos fabri-cants d’armes ? Alors, qu’attendez-vous pour commander à vos sous-fifres européens ?

{25}. Faire signer un  » contrat d’éducation  » aux couples qui procréent ; un contrat par lequel les géniteurs s’engagent vis-à-vis de leurs progénitures. Y seront mentionnés les obli-gations légales de base des géniteurs envers les progénitures (la  » Constitution des parents « ), les sanctions auxquelles ils s’exposent en cas de manquement, qui vaut rupture du contrat, et les recours dont ils disposent pour faire face à leurs obligations quand il s’avère qu’ils n’y parviennent pas.
Aussi attentatoire à l’orgueil que paraisse cette disposition, elle ne ferait que rejoindre les mesures symboliques prises pour que la conscience suive les faits et gestes, et que les personnes se sentent reconnues socialement comme respon-sables, membres à part entière de la société, partenaires économique et social des agents et des instances de l’Etat ; par exemple quand on fait payer une petite somme symboli-que aux personnes aidées matériellement, ou bien lorsqu’on fait signer un engagement à faire de se donner tous les moyens pour réussir une formation. Il serait malvenu pour les adultes de se sentir infantilisés par ce contrat quand une multitude de dispositions infantilisent les adultes ; quand, par exemple, dans l’exercice de la pseudo démocratie, ils ne sont pas traités comme des partenaires de pouvoir, mais comme des irresponsables, des ignorants, des capricieux, des fous furieux, des racistes, des immatures, des incons-cients à qui on fait bien de dicter leur vote. La plupart des gens se mariant et se reproduisant par soumission infantile à la pression sociale, c’est-à-dire à la loi instaurée par les mâ-les dominants, il serait malvenu de leur part de faire une crise d’amour-propre qu’ils ne placent pas là où ils placent leur soumission à l’ordre établi.
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 » « Aider les parents à être parents » : un rapport recense des idées pour la France « , le 02/09/2012
http://www.midilibre.fr/2012/09/02/aider-les-parents-a-etre-parents-un-rapport-recense-des-idees-pour-la-france,556139.php

Le gouvernement 2012 plaide pour une assistance aux pa-rents en difficulté, un soutien éducatif diplomatique à ceux qui en feraient une crise d’orgueil.
Certains y verront toujours plus d’assistanat et de fonction-naires coûteux, mais quel serait le bénéfice pour la société si un tel dispositif permettait de diminuer drastiquement le nombre de parents indignes ou passables ? Il serait incom-mensurable. Un tel dispositif fait ce que font les livres que li-sent les plus instruits. Si les plus instruits ont le goût de cher-cher l’information nécessaire pour parfaire l’art de la mater-nité et de la paternité, les moins instruits sont dépendants des plus instruits pour recevoir cette information, car les moins instruits ont de la connaissance élémentaire ou supérieure l’approche des enfants : ils doivent être pris par la main ; accompagnés. C’est ainsi que cela doit fonctionner dans un pays qui se prétend une nation. Cela ne se passe pas ainsi dans un pays où les classes sociales sont rivales, parce que ce pays n’est pas républicain et démocratique, parce qu’il obéit à l’idéologie voulant que chacun a la place qu’il mé-rite, parce que chacun est responsable de son sort, parce que certains croient ne devoir qu’à eux-mêmes ce qu’ils ont et ce qu’ils sont.

{26}. Inciter les parents à faire exciser l’hymen de leurs filles dès la naissance, tant par soucis d’hygiène vaginale que par soucis d’équilibre affectif et sexuel ; qui est souvent compromis par une défloration ratée (c’est-à-dire ne satisfaisant pas à la mythification avec laquelle sont sublimés la virginité, le sentiment amoureux, le couple, le rapport sexuel, le ma-riage, la famille).

{27}. Donner des cours de viol aux hommes, afin d’éviter les problèmes induits par des viols mal pratiqués ; ainsi même que la seule réponse à la pratique de la circoncision n’est pas la criminalisation, mais la formation des circonci-seurs, sachant que la circoncision, c’est pour l’Etat comme la médication : on se soucie uniquement des dégâts immédiats et flagrants qui pourraient donner lieu à des poursuites judi-ciaires, on ne soucie pas des effets délétères et sournois à moyen et long termes.

{28}. Quand la France paie des séjours éducatifs, des voyages et autres sorties aux Franco-de-papier-maghrébins à problème, elle devrait aussi payer un voyage exotique aux Français de souche et aux Franco-machins, tous les cinq ans, de sorte à les familiariser avec les populations exotiques du monde, en les mettant dans la situation des immigrés qui viennent en France. On sait que les individus de niveau sco-laire inférieur ou égal au BAC sont les plus attachés aux ins-titutions traditionnelles (tribalisme, mariage, religion, etc.), car ils n’ont pas suffisamment de  » substance – intérieure –  » pour exister par eux-mêmes et pas suffisamment d’utilité sociale pour être surs de leur valeur en dehors d’une com-munauté nationaliste de copinage. Si on limite les besoins de dépaysement à l’inculte populace âgée de 15 à 49 ans de niveau scolaire inférieur ou égal au BAC, soit 55% de la po-pulation (http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=0&ref_id=T12F104 ), soit, environ, le pourcentage de Français qui ne supportent plus la présence maghrébine en France, le pourcentage de Fran-çais qui voteraient sans doute pour le Front National si ce parti n’avait pas fait l’objet d’une campagne de diabolisa-tion. Quelque 39 millions d’habitants sont donc les moins susceptibles de se payer des voyages culturels (http://www.insee.fr/fr/ppp/bases-de-donnees/recensement/populations-legales/france-regions.asp?annee=2009). En offrant un voyage culturel tous les cinq ans, par exemple, à une partie de ces Français, on créerait maintes emplois dans le tourisme, et on limiterait peut-être (impact à étudier) les frictions entre Franco-européens et les immigrés exotiques ; l’économie réalisée sur les coûts que provoquent les frictions interethniques permet-traient peut-être de financer les voyages. Reste à savoir qui a intérêt à ce que les peuples soient mutuellement assez fami-liarisés les uns avec les autres pour ne plus vouloir se faire la guerre ? Sûrement pas la France, vendeuses d’armes.

{29}. L’alcoolisme fait l’objet d’un culte de la part de ceux qui ont, vis-à-vis de l’alcool et de son absorption, le compor-tement des fanatiques. L’alcoolisme fait plus de morts que les autres intégrismes, là où les intégrismes religieux n’ont pas le pouvoir. Le Pouvoir actuel (celui des industriels et des financiers) fait son beurre avec les alcooliques, notamment ; et plus généralement avec tous ceux qui ont un comporte-ment de drogués avec les habitudes, les rites, les mœurs, les modes de consommation, comme ils ont souvent une pro-pension à la consommation de drogues sous toutes leurs formes. L’Etat doit néanmoins accéder à la demande des ci-toyens soucieux de leur sécurité sur les routes, qui ne sont pas tant rendues dangereuses par des bandits de grand chemin que par les l’alcooliques. Les citoyens ne se dépla-cent plus sur des chemins forestiers, mais sur des routes goudronnées. C’est donc sur ce type de voie que les citoyens ont besoin d’être protégés, en l’occurrence contre les alcoo-liques. Un Pouvoir qui mettrait sa politique sanitaire en cohé-rence avec les messages de santé publique remplacerait la répression aveugle de tous les automobilistes par un contrôle des ventes d’alcool et une restriction du droit de circulation aux alcooliques.
Quand l’Etat clame que consommer un verre d’alcool fort par jours est déjà de l’alcoolisme, la cohérence voudrait que l’alcool soit rationné à hauteur de 20cl x 31 jours, soit plus de 6 litres d’alcool fort par mois et par adulte, soit 8 bouteil-les de 75 cl. Présentée ainsi, on voit mieux que boire un verre d’alcool fort par jour constitue effectivement de l’alcoolisme. Si on admet trois ou quatre verres d’alcool fort par semaine ou en fin de semaine, on tombe à environ 3 li-tres, ce qui fait presque une bouteille de 1 litre par semaine, soit environ 4 bouteilles de 75 cl par mois, ce qui est bien suffisant pour un buveur raisonnable, d’autant qu’il peut consommer de l’alcool plus léger, qu’il faudrait aussi ration-ner.
A l’heure où on en vient à rationner la consommation d’eau en cas de sécheresse, où on pointe les dangers d’une expo-sition excessive à la télévision, aux jeux vidéos ou à Internet, à l’heure où on annonce une baisse du niveau de vie, c’est-à-dire un rationnement de fait des produits de consomma-tion courante, il ne devrait plus être tabou de mettre en place un rationnement des produits qui font perdre la tête, en particulier de celui qui est sans doute un des plus mortels, à savoir l’alcool. Un tel rationnement peut être perçu comme une atteinte à la liberté, mais de quelle liberté se soucie-t-on, quand la masse ne se soucie pas des atteintes graves aux li-bertés fondamentales (comme le droit à l’intégrité génitale, que bafoue le droit de circoncire accordé aux  » alcooliques des religions « , à savoir les circonciseurs). Qui se sent soli-daire des alcooliques ? Qui se sent plus solidaire des alcoo-liques que des familles endeuillées par les morts et les dra-mes familiaux que causent les alcooliques ?
Avant d’instaurer un rationnement de l’alcool, qui provoquerait des pertes d’emploi, il conviendra, bien sûr, de planifier des changements d’activité et des développements de nou-velles activités.
[A lire en annexe :  » La menace mortelle des intégristes de l’alcool, terroristes de la route « ]

{30}. Quand on impose ou prétend restaurer le Service mi-litaire (le patriotisme, la défense de ses concitoyens), il fau-drait aussi, ou à la place, instaurer un Service secouriste – décennal -.
Quand on prétend former des bons citoyens avec des activi-tés collectives ou bien avec les cotisations à la Sécurité so-ciale, quand on prétend que nation – française – il y a, cons-tituée de personnes réunies par un lien de réciprocité, quand on fait des campagnes de sensibilisation à la survie d’autrui par la conduite automobile sobre, quand on sensibilise à la survie des espèces protégées comme à la déforestation… on devrait faire en sorte que chacun se sente responsable de la vie d’autrui. Comment ? En instaurant un Service secouriste.
Un Service secouriste souderait les gens (en pacifiant le monde), bien davantage que les échanges de bons procédés en usage, comme des membres d’une famille qui veillent les uns sur les autres ; soit d’une façon similaire à ce que font les films permettant aux ego de s’identifier à un héro messiani-que, secouriste ou justicier (des ego animés d’un faux souci d’autrui mais d’un vrai désir de se distinguer de tous), soit, plus sincèrement, en permettant aux plus humains de gagner en maturité, avec le sens des responsabilité qui va avec.
Comme le Service militaire fait se sentir  » homme « , le Ser-vice secourisme ferait se sentir ange gardien, sauveteur, auxiliaire de la protection civile ; adepte d’un communauta-risme que l’on vend à toutes les sauces commerciales (et ser-vant uniquement à se sentir aimé et en sécurité au sein d’une tribu), et qui est surtout virtuel (qui n’engage à rien). Cela permet de se sentir membre d’une communauté nationale, partie d’un Tout, en interaction harmonieuse, bienfaitrice. Cela aurait un effet bénéfique sur le psychisme de quantité de personnes, qui se sentiraient valorisées du seul fait d’avoir été reconnues aptes au secourisme.
Quel politique mettra en œuvre ce qui rendrait les gens sin-cèrement pacifiques, réfractaires aux guerres, au sacrifice humain (par circoncision y compris) ? Un Service secouriste global au lieu de Services militaires nationalistes, et s’en se-rait fini des guerres ; enfin ! aussi longtemps que les gens pourraient se permettre le luxe de se soucier d’autrui parce que chacun aurait sa survie assurée (qui sauvera celui qui s’étouffe avec le pain dur d’une soupe populaire quand sa mort permettrait à quelqu’un d’autre de mieux se nourrir ?).
Pour qu’une telle proposition ne soit pas vaine, il convient de réaliser que si le Service secouriste convient sans doute à la moitié de la population, le Service militaire convient sans doute à l’autre moitié. On ne rendra pas tout le monde al-truiste avec un Service secouriste, pas plus qu’on ne rend tout le monde militariste avec le service militaire.

{31}. Les visites médicales faite à l’école surveille les orga-nes génitaux (ah, ça, les organes génitaux, qui n’a pas les yeux rivés sur ça !), de la vue, de l’audition… mais pas de la dentition, dont la dégradation peut avoir d’énormes retentis-sements sur la santé (la vision, les articulations, le cœur). Tout est dit : à quand un suivi de l’état de santé de la denti-tion des écoliers ?

{32}. La France n’est plus la France, les Français ne sont plus les Français ; mais environ 50% d’entre eux (les sympa-thisants du Front National et autres gaullistes) s’accrochent à la France d’avant les années 1970. Les Etats-Unis ont pris le contrôle de la France à leur profit, mais sans s’encombrer d’elle et de sa populace, ni à ses frais, comme la France a pu le faire avec ses colonies Nord-africaines. Il n’en de-meure pas moins que si les habitants d’Afrique du Nord étaient des Français par la colonisation, les habitants de France sont désormais des Américains en devenir. D’ores et déjà, il devrait aller de soi de songer à rebaptiser la France  » Françamérique  » et les Français  » Françaméricains « . Quand un président français déclare qu’il est le plus Améri-cain des Français, il devrait déclarer qu’il est Françaméricain plus que Français. Françaméricains, c’est ce que sont les en-fants d’immigrés arabo-afro-maghrébins et asiatiques nés en France, qui parviennent à se sentir Français parce que les sé-ries télévisées américaines leur renvoient l’image d’une po-pulation américaine à laquelle ils peuvent s’identifient à tra-vers une France américanisée. Que cela soit entériné officiellement. Que ceux qui se sentent Françaméricains puissent se présenter comme tels.

{33}. Avant de faire partie du club des politiques autorisés à bénéficier d’un large accès aux médias de masse indispen-sable pour toucher le grand public, le fondateur du Front National et son héritière ont dénoncé la discrimination mé-diatique dont ils faisaient l’objet. D’autres en font autant au-jourd’hui, notamment François Asselineau, président fonda-teur de l’UPR. Nombreux sont ceux qui appréciaient le style et la teneur du discours de Jean-Marie Le Pen, comme nom-breux apprécient le style et la teneur du discours de François Asselineau (la comparaison s’arrête là…).
Les médias privés sont libres de choisir leurs invités politi-ques ; les citoyens avertis sont aussi libres d’éviter ces médias trop peu démocrates. Dans une démocratie digne de ce nom, dans une république qui prétend offrir  » l’égalité des chances « , le public devrait pouvoir proposer des politiques, des intellectuels ou encore des artistes aux chaînes de télévi-sions publiques, par le biais d’un système de vote populaire ; suivant le nombre de voix recueillies, la personne à faire connaître au grand public aurait accès aux radios et aux té-lévisions régionales ou nationales.

{34}. Le viol est une pratique ancestrale et universelle qui participe d’une philosophie naturelle visant à instaurer l’amour universel et l’altruiste don de soi pour pacifier le monde en créant une grande famille globale, au contraire du rite bourgeois du mariage, rite de l’égoïste possession in-dividualiste et exclusive, du clanisme plus ou moins nationa-liste et mafieux, qui engendre des guerres de conquête, d’asservissement – sexuel – et de pillage. En conséquence, le mieux ne peut advenir sur terre qu’avec la générosité universelle dans laquelle s’inscrit la pratique du viol. Quand on prétend abolir les frontières et détruire les nations pour ins-taurer un village global autour d’un creuset interethnique, il faut inscrire le viol dans la recherche de l’amour universel et non discriminatoire.
Pour rompre avec la logique racialiste, bourgeoise, capita-liste, tribaliste, endogamique, mafieuse… il convient d’instaurer un jour férié global pour célébrer la pratique du viol. Durant cette journée de festivités, baptisée la  » fête du viol « , les filles âgées de 15 ans seront déflorées sur la place publique par des initiateurs expérimentés, avant d’être célébrées comme des femmes des vraies. Compte-tenu de la précocité grandissante de la puberté, cet âge sera diminué avec le temps ; car ce rite est destiné à devenir immuable, inaliénable et sacré comme la pratique de la circoncision masculine rituelle.

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